Avec l'arrivée de la photographie numérique, des millions de nouveaux photographes sont apparus « du jour au lendemain ». Mais qui se rappelle des débuts de la photographie et de son évolution ?
Un beau jour, Aristote découvrit un phénomène… phénoménale qui va changer le monde !
Par une fenêtre, la lumière entrant à l’intérieur d'une pièce permet de reproduire contre la paroi d’en face, la scène de l’extérieur, grâce aux rayons lumineux réfléchis passant par cette petite ouverture !
Depuis cette trouvaille magique, les "illuminés" de la photographie se dépassent pour trouver un moyen de fixer cette image réfléchie sur un support stable.
De l'antique Aristote à aujourd'hui un grand nombre de techniques se sont développées. La plus connue est l'argentique, encore utilisée de nos jours par des professionnels et des amateurs avertis.
Ma technique de prédilection est celle de la « Gomme bichromatée », créée par Alphonse Poitevin au milieu du 19ème siècle.
Elle consiste à mélanger dans une solution de gomme arabique du pigment et du bichromate de potassium.
Cette solution est appliquée à l'aide d'un pinceau sur du papier à fort grammage, préalablement encollé et exempt d’azurants, d'acidité.
Une fois, cette couche photosensible sèche, on peut procéder à l'insolation à l'aide d'une boite à lumière UV ou directement au soleil.
Nous avons le choix entre une couleur, monochrome ou multiple, trichromie voire quadrichromie.
Il s'agit d'une technique capricieuse, mais ayant un rendu magnifique. Pour arriver à la maîtriser, il faut être patient et avoir des nerfs d'acier. Un local à température et à hydrométrie stable est d'une grande aide.
Un beau jour, Aristote découvrit un phénomène… phénoménale qui va changer le monde !
Par une fenêtre, la lumière entrant à l’intérieur d'une pièce permet de reproduire contre la paroi d’en face, la scène de l’extérieur, grâce aux rayons lumineux réfléchis passant par cette petite ouverture !
Depuis cette trouvaille magique, les "illuminés" de la photographie se dépassent pour trouver un moyen de fixer cette image réfléchie sur un support stable.
De l'antique Aristote à aujourd'hui un grand nombre de techniques se sont développées. La plus connue est l'argentique, encore utilisée de nos jours par des professionnels et des amateurs avertis.
Ma technique de prédilection est celle de la « Gomme bichromatée », créée par Alphonse Poitevin au milieu du 19ème siècle.
Elle consiste à mélanger dans une solution de gomme arabique du pigment et du bichromate de potassium.
Cette solution est appliquée à l'aide d'un pinceau sur du papier à fort grammage, préalablement encollé et exempt d’azurants, d'acidité.
Une fois, cette couche photosensible sèche, on peut procéder à l'insolation à l'aide d'une boite à lumière UV ou directement au soleil.
Nous avons le choix entre une couleur, monochrome ou multiple, trichromie voire quadrichromie.
Il s'agit d'une technique capricieuse, mais ayant un rendu magnifique. Pour arriver à la maîtriser, il faut être patient et avoir des nerfs d'acier. Un local à température et à hydrométrie stable est d'une grande aide.
Pour avoir une meilleur idée, sur cette technique ancienne, vous pouvez visionner la video ci-dessous :